fulga meur de faim

Fulga avait faim, elle cherchait un endroit ou trouver de la nourriture. Finalement elle trouva la ferme, elle essaya d'entrer dans la bergerie, rien a faire elle n'avait aucune chance de rentrer dedans. *Il faut que je mange, je vais essayer le poulailler* tandis qu'elle se dirigeais vers le poulailler elle découvrit une vignes. Elle dégusta quelque raisins au passage et se dirigea vers le poulailler arriver devant, elle força leporte qui s'ouvri semant la panique chez les poules elle en attrappa une et s'enfui en vitesse le fermier arrivait armer. Elle dégusta la poule a l'ecart dans un buisson.

A la lisière de la forêt, une forme glissait silensieusement entre les hautes herbes.
Elle était entièrement noire, haute sur patte.
On pouvait apercevoir ses muscles saillant sous son pelage.
Son ombre avançait à la même vitesse qu'elle sur le sol.
Le soleil rasant contraignait l'animal à garder ses yeux d'ambre à moitier fermés.
Sa respiration était haletante en raison de la chaleur qu'il avait fait aujourd'hui.
Apocalypse décela parmit les nombreuses odeurs qui croisait sa route celle d'une louve.
Il suivi cette piste, toujours aussi silencieux.
Sa haute silhouette se découpa bientôt sur la petite coline qui surplombait la ferme.
Le loup noir savait qu'il n'était jamais bon de s'y aventurer.
Il finit cependant à apercevoir le corps de la louve qui sortait du poulailler, une poule dans la gueule.
Il vit aussi le fermier armé de sa fourche courrir vers cette louve imprudente.
Le soleil derrière lui projetait son ombre loin devant lui.
Apocalypse s'assit tranquilement et observa silencieusement la scène.
Le fremier abandonna rapidement la course : la louve était trop rapide.
Avant que l'homme n'ai eu le temps de voir Apocalypse, celui-ci s'éclipsa dans les buissons.
Il trotta un peu et se coucha sur un promontoir en pierre.
La louve se tenait quelques mètres plus bas, entrain de déguster son repas.

Fulga huma l'air, *il ya un loup pas loin*, elle fit entendre un grognement sourd, et leva sa tête blanche. elle prit la poule dans la gueule et s'en alla un peu plus loin. *je me sens épier*. La louve s'allongea sous un buisson un peu plus loin et leva le nez elle aperçut un loup noir. Elle sortit du buisson et dis au loup noir " que me veux tu toi! ", elle grogna et s'assit elle plongea ses yeux dans ceux du loup noir, puis s'allongea et dégusta sa poule.

Apocalypse observait la louve.
Il savait qu'elle ne l'avait pas vu, mais il savait aussi qu'elle se sentait épiée.
Un vent léger lui aporta son odeur.
Le soleil était déjà à moitié cacher derrière l'horizon.
Le loup noir posa sa tête entre ses pattes lorsqu'il vit la louve partir.
Il n'avait pas envie de la suivre.
Aujourd'hui, il avait parcourru une longue distance et il était très fatigué.
Apocalypse ferma donc les yeux, se laissant bercer par le bruissement des feuilles.
Pourtant il releva la tête quelques instants plus tard.
La louve blanche se tenait devant lui, menaçante.
Il la jugea rapidement avant de reposer sa tête, sûr qu'elle ne lui ferait pas de mal.

" Rien. "

Fulga observa attentivement le loup noir, elle fit un pas et s'assit devant lui. " Que fait tu là alors " dit-elle d'une voix plus calme. La louve blanche se coucha, puis elle observa la ferme d'à côtés et elle lui demanda " T'es là, pour les poules alors".

Apocalypse resta coucher.
Il ne se montrait ni agressif, ni peureux.
Seulement neutre.
Il ne cherchait pas la bagarre.
Son regard se planta dans les yeux de la louve blanche.
Une étincelle malicieuse brillait au fond de ses yeux.
Le soleil était maintenant presque totalement coucher.
Le loup noir parla d'une voix grave.

" Je suis là pour me reposer. Et non, je ne suis pas là pour les poules. "

"Bon a plus" La louve se releva et lui tourna le dos elle tourna sa tête vers le loup noir et lui dit " T'es bizare toi ^^", puis elle s'en alla, perdu dans ses pensée.

Apocalypse releva la tête lorsqu'elle tourna la sienne.
Il la laissa dire.
Après tout ce ne sont que des mots.
Il acquiesca d'un signe de tête.
Mais le loup noir était bien décidé à lui répondre.

" Pourquoi serais-je bizarre ? "

" Tu reste couché la alors qu'il y a des poules délicieuse plus bas. Mais tu as quand même l'air sympa. " " J'espère que nos chemin se croiseront de nouveau. " Sur ce la louve s'en alla dans les sous-bois.

Apocalypse ochat à nouveau la tête mais sans répondre cette fois.
Il suivi du regard cette louve qui avait eu le courrage de défier le fermier pour une poule.
A présent il faisait presque noir dans les bois.
Seul les criquets troublaient le silence.
Le loup noir dressa les oreilles lorsque des aboiments se firent entendre.
Une lumière filtra entre les arbres.
C'était le fermier.
Et il avait l'air en colère.
Il tenait d'une main ses trois chiens et de l'autre une fourche.
Apocalypse n'attendi pas une seconde : il se releva et bondi à la suite de la louve blanche.
Le fermier venit de lâcher ses chiens.
Le loup retrouva bien vite la louve.
Il lui hurla sans s'arrêter.

" Cours ! "

Fulga ne compris pas sur le moment mais elle suivit le loup noir. Elle entendit les chiens aboyer et hurla: " Pourquoi il ne lâche ces chiens que maintenant! ". Elle courait toujours derrière le loup noir qui commençais à la distancer, puis elle trébuche et fut rattraper par un chien.

Apocalypse ne se posait pas ces questions.
Tout ce qu'il voulait c'était aller le plus loin possible.
Alors il courrait, la langue pendante.
Les deux loups commençaient à distancer les chiens lorsque la louve trébucha.
Apocalypse se retourna vivement et fit face aux chiens.
Ceux-ci étaient plus petits que les loups mais tout aussi redoutables.
Le loup noir montra les croc et hérrissa son poil.
Il se plaça devant la louve blanche.
Un grondement sourd sorti de sa gueule.
Le premier chien qui arrivait bondi sans ralentir sur Apocalypse.
Le loup esciva d'un pas sur le côté et planta ses crocs dans la patte arrière du chien.
Les os cassairent dans un craquement sinistre.
Les deux autres chines bondirent en même temps sur Apocalypse.
Et le fermier se rapprochait dangereusement.

Fulga se remit debout et vit le loup noir qui la protégeait elle vit les deux autres chiens bondirent sur le loup. La louve rassembla son courage et bondit sur un des chiens, elle lui brisa la nuque par accident, puis elle recula. "On ne peut pas faire face au fermier, c'est trop risqué "

Apocalypse se débarrassa du dernier chien en le mordant à l'épaule.
Il parti sans demander son reste.
Le loup noir sagnait sur le dessus du dos, à l'endrois où le chien l'avait mordu.
Il acquiesca d'un signe de tête mais avant qu'il n'ait eu le temps de bondi, la lampe du fermier les éblouis.
Apocalypse fit un pas en arrière.
Il ne voyait plus rien.
Le temps qu'il s'abitu à la lumière, le fermier avait déjà envoyer sa fourche sur le loup noir.
Celui-ci fit un pas sur le côté mais une méchante coupure lui zèbra l'épaule.
Il réussi quand même à se mettre hors de porté des coups de fourche.
Il s'élança loin de là en espèrant que la louve le suivait.

Fulga le suivit tremblante de peur. Elle sentait sa présence dans l'obscurité ce qui la rassura, elle le suivait. Le fermier les regarda fuirent et s'approcha de ses chiens. Quand elle fut très très éloignée du fermier elle s'arrèta et lécha l'épaule du loup noir.

Apocalypse courrait aussi vite que ses pattes pouvait le lui permettre.
Sa langue pendait ; il était complètement essoufflé lorsqu'il jugea qu'il se trouvait assez loin du berger et de se chiens.
Le loup noir prit quelques minutes pour reprendre son souffle.
Dans le ciel, les étoiles brillaient comme des mini-soleils en pleine nuit.
Un léger vent fit s'agiter les arbres.
Encore sur le coup de l'action, Apocalypse fit un bond sur le côté en sentant la langue chaude et rapeuse sur son épaule.
Il regarda la louve quelques secondes, sous l'effet de la surprise.

[[ Excuse moi pour le retard. J'ai eu beaucoup à faire... ]]

La louve s'arrèta et regarda le loup noir.
" Merci, sans toi je ne serai plus la."
(pas grave)

Apocalypse acquiesca. Son épaule ne saignait plus mais sa fourrure était tachée de sang : le sien et celui des chiens.

Il planta son regard dans celui de la louve. Ses yeux lui rappelaient quelque chose... Ou quelqu'un. Il savait qu'il avait déjà vu se regard. Mais où ? Un regard plein de tendresse... Des prunelles brun clair... Oui, ça y est ! Il se souvenait ! Le petit garçon, dans le zoo.

A ce moment, le loup noir se demanda se qu'avait bien pu devenir ce petit d'homme qui restait près de lui chaque jour. C'était grâce à lui qu'Apocalypse était là aujourd'hui ; sinon il serait mort dans sa cage de solitude.

Se rendant compte qu'il fixait toujours la louve avec insistance, il détourna brusquement le regard. Elle était sauve, c'était le principal. Il ne fallait pas s'attarder sur des évenements du passé : le fermier pouvait revenir à tous moment.

" Bon... Le plus sûr c'est de rester sur les terres inhabités. Les humains ne s'aventurent jamais là-bas. Vas-y. Moi je peux me débrouiller seul. "

- Je voudrai te dire quelque chose mais tu vas sans doute rire.
La louve regarda au sol.

Le loup noir, qui commençait déjà à partir, se retourna et la regarda avec interret. Il avait toujours été curieux de nature. Quand il était avec ses frères et soeurs c'était toujours lui le premier qui allait voir les choses nouvelles.

Il planta donc son regard dans celui de la louve de manière à l'inciter à continuer. Mais celle-ci ne le regardait déjà plus. Il se décida à parler.

" Je t'écoute. "

- "Je suis allé à la fontaine et ....et un petit garçon m'a carréssé la tête. Je ne lui faisait pas peur, je suis rentrer dans le village aussi dans le seul but de le revoir. Croit tu qu'il aime les loups?"

la louve regarda le loup noir en attente d'une réponse.

Le loup noir sursauta quand la louve parla d'un petit garçon. Plus prêta encore plus d'attention à la suite de ses paroles. Un flot d'image le submergea.

La cage... Les barreaux... Le petit garçon... Sa main à travers les barreaux... Sa mère qui lui hurle de la retirer... Lui qui voulait la lui lècher...

Apocalypse fixa la louve blanche. L'émotion lui nouait la gorge. Si c'était bien le même petit garçon dont ils parlaient, le loup noir prendrait le risque d'aller au village.

" Oui, sans doute... "

Fulga voyait de la tristesse dans les yeux d'Apocalipse.
- " Tu sais il est treès mignon. Au village il n'y avait personne au moment ou j'y suis allé. C'était....hum oui dans l'après-midi et il n'y avait que les chiens. Le petit garçon habite a la 6 ème il joue souvent dans le jardin il se trouve en face de la montagne...."
La louve s'arrèta pourquoi elle lui racontait sa??? elle regarda le loup dans les yeux.

Le grand loup noir, un peu bousculé par les vénements récents, secoua la tête de droite à gauche. Puis il regarda à nouveau la louve blanche. C'était décidé, il irrait là-bas.

" Tu as dit à la 6ème maison ? Parfais. Je doit y aller. "

Il se retourna et s'enfonça dans la forêt sombre au trot.

-" Oui la 6ème maison. Sois prudent!"
Au fond elle sentait bien qu'elle était proche d'apocalipse.Elle l'aimait bien même beaucoup.

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